« Une pureté sans nom », Laurent Dingli, éditions Flammarion.
Ce roman est une lettre qu’un père, le Docteur Gruber (Allemand né à Munich en 1904), adresse à son fils en janvier 1969 pour tenter d’alléger le poids qui pèse sur leurs deux générations. Long repentir, examen de conscience effectué à la lumière de son histoire propre et de celle de son pays, il affronte, sans se dérober, ce que fut l’irresponsabilité de tous ceux qui, comme lui, n’ont pas résisté à la folie des puissants.